Six amphithéâtres sont répartis au sein de l'Université; certains petits, d'autres beaucoup plus grands. Les chaises sont inconfortables, les tablettes petites, il fait chaud en été, froid en hiver... l'université quoi.

S'il y a bien un endroit où l'Université ne fait pas d'économies, c'est bien ici. Tout est fait pour garantir la sécurité des travailleurs : le matériel est neuf, bien entretenu, et tout est soigneusement désinfecté - surtout après le passage des médecins et de leurs maladies... On travaille dans son coin, aux établis où sur les petites paillasses trouées d'un évier. Attention au matériel : qui casse paye.

La bibliothèque fait la fierté des Érudits, et il y a de quoi. Depuis quelques années le Doyen s'applique à faire venir des ouvrages de toutes les cités, même si ça lui coûte un bras. Le bâtiment en lui-même est splendide, avec de hauts rayonnages en bois brut, des mosaïques au sol et une coupole qui s'ouvre ou se ferme en fonction de la luminosité. De petites sphères volantes circulent un peu partout pour apporter des ouvrages, et de vieux automates rangent les livres dans les rayonnages. La Bibliothèque est le seul lieu ouvert à tous.