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 Nickolas Meyners

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Nickolas Meyners
Serken Mordkomission
Nickolas Meyners
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Nickolas Meyners
MessageSujet: Nickolas Meyners   Nickolas Meyners EmptyMar 26 Juin - 12:24

Nickolas Meyners


Surnom : Klaas

Âge : 35 ans

Ville de naissance : Draümstadt

Rang social : Autorités

Caste : Mordkomission

Métier : Serken des meurtres et assassinats

Avatar : Shibazaki Kenjirou, Zankyou no Terror

Insupportable  ● Odieux  ● Fumeur & buveur ● Opiniâtre  ● Loyal




Physique & Caractère


Je ressemble à...


J’ai une gueule qu’on pourrait presque facilement oublier. Plutôt pratique quand on fait ce genre de boulot depuis qu’on sait marcher sur ses deux jambes.
Une taille moyenne, des cheveux noirs onduleux qui refusent obstinément de rester en place – et c’est tant mieux, au moins je me fais pas chier chaque jour à leur foutre un coup de peigne. Une barbe noire, rarement taillée, encore moins entretenue, juste assez pour lui faire garder sa forme. Avant, j’étais très uniforme et compagnie. Plutôt beau gosse, pour ce que j’peux en juger. Avec une de ces voix très graves, presque trop, où a l’impression que tu t’arraches la gorge quand tu parles. Pas mal de nanas adoraient ça. Elles ont qu’à se mettre à fumer, ça finira par leur arriver aussi.
Des yeux en amande foncés, légèrement tombant. En maquillage, des magnifiques cernes qui ne me quittent plus. Le sommeil et moi, on est plus vraiment pote depuis longtemps. Vieille embrouille. Et puis, entre cette saloperie de drogue et la douleur… Ça creuse les rides aussi. J’ai beau n’avoir que 35 putains d’années, je sais que j’ai la gueule de quelqu’un avec dix ans de plus.

À cause de mon boulot et de l’entraînement, malgré ma taille, j’ai une certaine carrure. Des muscles, taillés pour la réactivité plus que l’endurance. Des épaules assez costaudes. Putain que c’est chiant de se trouver la moindre fringue correcte avec ça ! Du coup je m’emmerde plus maintenant. Des chemises trop longues la plupart du temps ou des vieux morceaux de tissus quand je reste dans ma piaule, ça fait l’affaire : on va pas s’emmerder. Et le premier trouffion qui me fait une remarque, c’est lecture de compte-rendu de morts de miniers pendant une semaine.
C’est à cause de ce même travail pourri que j’ai des cicatrices un peu partout. Bras, jambes, dos, ventre… main. Ouais bon ok celle-là c’est aussi à cause des putains de médecins qui m’ont recousus comme une mauvaise couturière. Sérieux des fois je me demande ce qui fait le plus mal, la blessure à l’origine ou leurs coutures de merdes qui ont sautés deux fois pendant ma reprise du boulot. Amateurs stupides. Si le moindre crétin m’approche encore avec un couteau, je lui enfonce sa tête dans la fosse commune.


Je pense comme...


J’ai un caractère de merde. Vous êtes prévenu. J’espère que vous êtes pas prudes des oreilles parce que j’adore jurer comme un charretier : c’est ma grande passion. Je râle contre tout et n’importe quoi, et si possible contre quelqu’un qui n’a rien fait… Ou qui ne fait rien mais souvent les deux vont ensembles. Du coup, on m’a souvent dit que je faisais partie des connards. En vrai, j’aime juste pas parler. Donc je grogne. Au moins, ça n’incite pas les gens à continuer de déblatérer des trucs dont j’ai rien à foutre. Faut voir le bon côté des choses, je suis franc. Si vous avez une gueule de con, je vous le dirai. Si vous me faites chier, je vous le dirai. Bref. Vous avez compris le topo.

Les gens ne m’intéressent pas. Enfin… Si. Certains m’intéressent. Ceux que je traque. Vous voyez l'obsession ? Bah voilà, la même chose. Je me suis promis de détruire la vermine de cette ville depuis qu’ils ont détruits ma vie. J’y passe la moindre parcelle de mon temps… Quand je suis pas au bistrot ou à bosser sur de la paperasse sans intérêt. Par contre, quand il est question de plancher sur un meurtre… Vous avez pas intérêts à vous mettre dans mes pâtes. Ou alors, vérifiez votre dernier vaccin anti-rage. Je suis pas un sanguin mais quand la cocotte siffle, c’est trop tard pour enlever le couvercle.

En dehors du boulot, j’ai peu d’amis. Souvent des collègues, bosseurs et qui aiment pas perdre leur temps en conneries. J’suis pas forcément plus sympa avec eux mais hé ! Ils ont le mérite de me supporter, j’vais pas leur cracher dessus pour ça. Parfois je raconte même une blague.
A côté de ça, j’aime quoi ? L’alcool. Le tabac, même si ça coûte putain de cher de s’en procurer dans cette ville. Le boulot. Le jeu, même si j’ai arrêté les paris après toutes ces conneries. Malgré mon caractère pourri, je suis pas si con que ce que ma tronche laisse à penser.


Compétence


Niveau de force (de 1 à 10) : 5 - A cause de sa main blessée
Capacités de combat (de 1 à 10): 8
Charisme (de 1 à 10) : 6
Niveau d'éducation : 5
Niveau d'intelligence (de 1 à 10) : 7


Famille



Mon père est un ancien de la Mordkomission. Il a quitté le boulot parce qu’il était trop vieux pour supporter cette merde. Et surtout, pour ses états de service, qui lui ont valu une petite place douillette dans la ville haute avec le restant de la maisonnée et loin des emmerdes. Depuis qu’ils ont filé là-bas, avec ma mère, j’ai presque plus de contact avec eux. Enfin... Surtout depuis que mon père a fait pression pour pas qu’on me renvoie aux mines, j’évite clairement de les croiser. J’me serais racheté quand j’aurais fini de nettoyer toute la pourriture de cette cité dégueulasse.

Mon frère cadet a intégré l’ordre des Erudits. J’crois qu’il a fini comme un putain de médecin et vis je ne sais où. Ma sœur, elle, a fini servante pour un noble quelconque. Je crois qu’elle a fini par se trouver un mari et qu’elle attend son premier polichinelle.


Histoire



La vie à Draümbell est parfois troublante de simplicité.
Chaque chose à sa place et chaque crétin dans son trou à rat.
Enfin c’est ce qu’on aimerait faire croire.

Mon paternel faisait partie de la Mordkomission quand j’ai débarqué dans le monde. Un serkens réputé, plutôt bien vu par le peuple du centre et aussi par le gratin de la Haute. Faut dire, il bossait comme un putain de taré et il avait les résultats qui allaient avec. Décoration sur décoration, le vieux. Et quand on fait partie de l’élite, on a forcément envie que ses mômes suivent le même chemin.

Comme j’étais le premier rejeton, j’ai été le premier à me recevoir ça en pleine gueule. Dès que j’ai su marcher et comprendre une phrase de plus de deux mots autre que ‘caca’, gentil papa a commencé à m’emmener avec lui à son boulot. Pas sur les trucs dangereux, évidemment. Il a pu me faire entrer dans le crâne tout le B.A.-BA du métier avant même que je ne rentre à la caserne. Parce que ouais, j’ai fait partie de ces gosses qui ont suivi l’éducation militaire plutôt que l'éducation classique. Pas sûr que ça soit beaucoup mieux. On traîne avec les gosses des rues assez débiles pour se faire attraper, les orphelins, ceux qui se font fait renvoyer du circuit classique. Et les gosses de militaires évidemment.
Bon après j’vais pas m’en plaindre. Même pendant ces années là, le pater continuait à me faire venir avec lui au boulot dès qu’il en avait l’occasion. Devait sans doute y avoir un paquet de fric à la clef pour qu’ils puissent se le permettre. Mais ça, je ne l’ai su que bien plus tard.

J’ai fini ma formation comme tous les autres à 16 ans. C’est là que tout le bordel a commencé, finalement. Le beau verni qu’on vous fait miroiter dès vos plus jeunes années s’effrite déjà comme la peinture sous le sable. La majorité des potes sont partis à la mine, comme le veut le système. Par contre, certains trous du cul se sont directement fait envoyer ailleurs, merci le pistonnage. Ça a failli être mon cas. Mon père, ne supportant pas de me faire moisir au fond des mines, a voulu me faire passer directement chez lui, à la Mordkomission. Pas de chance, son lavage de cerveau avait un peu trop bien fonctionné. Je l’ai envoyé chier et je suis parti aux Mines. Après tout si j’étais même pas foutu de mériter mon boulot, je vois pas pourquoi je me serais fait chier pendant autant d’années. Ça a été le début de la fracture avec mon vieux. Le moment où je me suis rendu compte à quel point il m’avait rendu la vie facile. Et j’ai la rancune tenace, vous pouvez me croire.

Bon après la vie à la mine était quand même bien merdique. On se faisait chier, nous les jeunes qui voulions voir de quoi on était capables, entourés des vieux qui ne voulaient pas en foutre une parce qu’ils étaient bien plus tranquille à se torcher la gueule à la piquette, ou prendre des paris sur le prochain minier à crever. Bon j’avoue j’ai participé à ce dernier… Un peu trop. Disons que le jeu est moi on est devenu très, très copains et que j’ai pas forcément fait ça qu’avec les flics. J’étais juste pas trop con pour le faire discrétos. Du coup mes entretiens et mes tests sont passés comme un couteau à travers une gorge. Direction la Mordkomission. J'ai du me coltiner mon vieux en Lianten et les ragots pendant encore quelques années avant qu'il dégage pour de bon. Bon débarras, putain.

A partir de là… tout à été tranquille un long moment. Des années de boulot par-dessus la tête, à traquer tout ce qui pouvait courir en semant un ou deux cadavres derrières lui. Et l’avantage avec les rats, c’est que ça diminue jamais. Y’en a toujours un pour remplacer celui qu’on vient d’exterminer. Mes supérieurs m’aimaient bien - ces crétins voyaient en moi l’image de mon père. C’est aussi à cette époque-là qu’on m’a proposé mes premiers pots de vin. Je les ai tous envoyé se faire foutre bien cordialement. Sauf qu’à un moment j’ai dû dire non à la mauvaise personne, ou vexé un peu trop de monde à foutre mon nez là où personne ne voulait aller - le genre de truc qu’on apprend que sur le terrain.
Moi et mes hommes, on s’est fait prendre en tenaille au milieu d’un vieux quartier dégueulasse. J’avais personne, une dizaine de soldats dont pas mal de vieux amis dans le lot. Ils ont pris un peu plus soin de moi évidemment, j’étais quand même leur première cible. On m‘a gentiment passé à tabac. J’en ai eu des raclées dans ma vie mais franchement, vous douillez quand même grave quand les mecs en veulent vraiment à votre vie. Bon j’ai dû casser quelques nez et quelques jambes en échange dans le tas. j’ai dû un peu trop gigoter parce qui y’en a un qu’a fini par sortir une arme. Heureusement, il devait pas trop savoir viser, ça a fini dans la main et la jambe. Puis ils se sont barrés en me laissant pour mort.

J'vous fais la suite, plutôt classique. On m’a retrouvé et ramené me faire charcuter par les putains de médecins. C’est eux qu’on failli me faire crever plus que mes agresseurs. Ils pourraient au moins prendre des cours de coutures correctes. En vrai j’y ai passé plusieurs mois avant de pouvoir à nouveau tenir sur mes jambes. Mon père est intervenu auprès de la Mordkomission pour pas qu’on me vire tout de suite et qu’on me laisse une chance. Comme il avait assez de poids avec lui, ils ont accepté et je suis retourné travailler une fois en état de tenir debout une journée entière. Tant mieux. J’étais sacrément remonté et prêt à y retourner tête baissée. Ma jambe allait bien et suivait le rythme, le reste… avait sacrément morflé. Mais fallait vivre avec, de toute façon.

Mais il y a toujours un revers de la médaille et j’avais bien eu le temps de cogiter pendant mon rétablissement. Si finalement rien ne tournait comme prévu, qu’à cela ne tienne, j’allais rentrer dans la danse. Si les voies officielles ne faisaient plus le job, je me rapprochais d’autres personnes. En peu de temps, mon réseau d’informateur s’est… diversifié. Bien sûr, tout cela avait un prix à payer. Disons que les activités de la police étaient parfois un peu plus prévisibles ou que les informations personnelles circulaient un peu plus facilement. Comme on le dit si bien : qui gagne, joue.


Derrière l'écran...

Je, soussigné Klaas Meyners déclare avoir pris connaissance du règlement et m'engage à suivre les règles de bonne conduite sur le forum.
Comment avez-vous découvert le forum ? : RaS
Un petit message ? Pitit coeuuuuur !
Maître des Mines
Administrateur suprême
Maître des Mines
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Maître des Mines
MessageSujet: Re: Nickolas Meyners   Nickolas Meyners EmptyMar 26 Juin - 13:44

Bienvenue à bord !



Bonjour et bienvenue, le Maître te salue bien bas (ouais, tu as le droit à tout le blabla !)

Te voilà désormais validé et près à rejoindre la ville.
N'oublies pas de créer ton journal de bord (obligatoire). Ensuite tu pourras aller faire quelques demandes spéciales si tu as besoin d'un lieu en particulier. Si tu as envie de te faire la main, tu pourras également t’entraîner sur le rp de groupe réservé à ta caste !

J'ai hâte de te voir courir gaiement après les gros méchants ♥


 
Nickolas Meyners
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