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 Klaus A. Grüber : du Sel dans les recherches

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Klaus A. Grüber
Docteur
Klaus A. Grüber
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MessageSujet: Klaus A. Grüber : du Sel dans les recherches   Klaus A. Grüber : du Sel dans les recherches EmptyMar 29 Jan - 22:57

Klaus A. Grüber


Surnom : L’Alchimiste ; le Loup Gris

Âge : 29 ans

Ville de naissance : Sältzbürg

Rang social : Erudit

Caste : Chercheur

Métier : Chercheur sur le Saltz

Avatar : No sé…

Rêveur ● Juste ● Patient ● Peu sociable ● Confiant




Je suis ce que je suis


Je ressemble à...


Klaus était un jeune homme séduisant, aux yeux marron et à la chevelure mi-longue brune. Il avait les mêmes  pommettes hautes que sa mère, le même sourire et le même regard que son père. Il n’avait pas un physique particulièrement exceptionnel. Il ressemblait à n’importe quel enfant bien né, qui n’avait guère connu de privations et s’il n’y avait cette brûlure qui courrait de son coude gauche à sa main, trahissant une exposition au Saltz, l’on aurait pu le dire parfait. Il avait souffert de cette blessure, d’abord parce qu’elle avait rongé ses nerfs, puis parce qu’il avait dû apprendre à vivre sans la sensibilité de son bras gauche. A cause de cela, il s’était cogné, blessé, brûlé, abîmé plus qu’à son tour mais il ne s’était jamais plaint. Il savait qu’il ne pouvait en vouloir qu’à lui-même ; qu’il n’aurait jamais dû faire preuve de maladresse dans l’atelier de son maître, renverser une fiole contenant une solution à base de Saltz et chercher à la rattraper.

Alors, depuis, il portait presque toujours des chemises amples et des gants de cuir fin pour cacher ses blessures. A cela il ajouter un pantalon de toile marron foncé ou noir, une ceinture en tissu verte et une veste gris anthracite à épaulette et col cousu d’or. Il a toujours avec lui des fioles en verre, vides ou remplies de différentes substances, un couteau, un carnet en cuir relié et un crayon afin de noter ses observations et découvertes, et des dès dans une poche.


Je pense comme...


Klaus A. Grüber était un enfant des mines plus intelligent que la moyenne. C’est du moins ce que disaient de lui ses maîtres. Pour autant, tant de par son caractère qu’à raison de ses origines, il restait moins bien considéré mais cela ne semblait pas l’atteindre. Il souriait de la même façon, ne prêtait pas attention aux commentaires désobligeants ni aux provocations, quoi que, lorsque l’attaque était trop directe il réagissait de façon souvent extrême. Il n’aimait guère non plus le mépris des uns envers les autres, lorsque celui-ci n’était pas justifié par une raison plus valable que celle de la classe sociale. Cette considération lui venait sans doute de ses origines, qu’il n’avait pas reniées malgré son ascension. Il savait qu’oublier la Mine nuirait à ses recherches, que s’il voulait surpasser ses prédécesseurs il lui faudrait pouvoir s’introduire partout où le Saltz circulait et puis, même s’il n’était pas réellement proche de son père, il aimait à garder le contact, ne serait-ce que pour sa mère.
Grâce à son domaine d’étude, il était respecté et avait l’impression d’avoir plus de droits que d’autres sans que rien ne vienne objectivement le justifier. Il trouvait cela insultant. Certes il étudiait la première richesse de la ville mais lorsque l’on avait rien accompli de notable, il pensait que l’on ne méritait rien. Pour lui, celui qui n’avait rien fait n’avait pas à être privilégié. Il restait toutefois d’une politesse froide, impersonnelle envers les gens qui tournoyaient dans sa vie, n’hésitait pas à les provoquer s’il ne les appréciaient pas.
Dans le cadre de son travail, il était conduit à approcher des victimes du Saltz et, même s’il n’était pas médecin, il se servait de ses bases médicales pour les étudier, tenter quelques soins, se pensant bien plus qualifier que le chirurgien ou le médecin classique pour ce qui était de comprendre cette affection. Son relatif jeune âge ajouté à cette prétention faisait qu’il était assez isolé et ne comptait ses amis érudits que sur une main. Il fallait déjà qu’ils aient accomplis une prouesse remarquable, ce qui réduisait drastiquement le nombre de candidats. La deuxième condition était la pire : il fallait le supporter. Toutefois une fois qu’il avait noué une amitié, qu’il appréciait une personne il se montrait fidèle et n’hésitait pas à pousser cette personne afin de la sortir de son trou, l’aidait avec ou sans son accord.
Klaus accepta l’interdiction faite aux érudits de se marier. Il s’en moquait bien de ne pas avoir accès à cette institution tant qu’il pouvait profiter de la compagnie des femmes, qu’elles soient plus ou moins jeunes. Il fallait uniquement qu’elles ne soient pas trop flétries à son goût, ce qui lui faisait s’arrêter en moyenne à l’âge de soixante ans.  Quant aux hommes, il ne les regardait pas comme des proies à jeter dans son lit ; il ne s’intéressait pas à eux.
En dehors de son métier, Klaus se passionne pour le modélisme et les mécanismes. Capable de passer plusieurs eux sur une maquette, il prétend parfois que ce n’est que dans le cadre de son travail, pour mieux comprendre l’importance, la place et la production du Saltz. Enfin, il apprécie être bien habillé, pouvoir manger à sa guise et surtout ne pas être pressé à faire les choses.


On m'a formé pour que je sois...


Niveau de force (de 1 à 10) : 6
Capacités de combat (de 1 à 10): 7
Klaus n’est pas un grand combattant mais il sait se défendre et s’entraîne souvent afin de ne pas craindre de mauvaises rencontres dans les Mines, lorsque ses recherches l’y mènent.
Charisme (de 1 à 10) : 7
Klaus sait plaire aux autres, les séduire mais le plus souvent il se contente d’être lui-même.
Niveau d'éducation : 9
Klaus a reçu l’éducation classique à tous les chercheurs, suivant le cursus normal mais il ne s’en contenta pas et étudia de son côté dans les livres et bibliothèques.
Niveau d'intelligence (de 1 à 10) : 8
L’intelligence du renard, la fourberie du serpent. C’est là les deux traits les plus remarquables chez lui. Mais il est aussi réfléchi et méthodique. Il usera de ce qui est à sa portée pour parvenir à ses fins.


Histoire de famille



Père et mère : Klaus n’est pas très proche de son père ; ils se tolèrent et se respectent plus qu’ils ne s’aiment. Il a plus d’affection pour sa mère, femme des mines usée par les ans et le travail. Il les voit parfois lorsqu’il se rend dans les mines pour ses recherches.

Un ou des patients : une victime du Saltz, un merveilleux sujet d’études.

Un médecin : Il faut bien quelqu’un a qui demandé des avis médicaux de temps en temps. Ce n’est pas son domaine d’expertise et il reste donc relativement modeste.

Des gardes des mines : A force de passer devant eux, il s’y ait fait quelques relations. Certains l’apprécient, d’autres moins.

Des amantes : La fidélité, ce n’est pas son truc, quoi qu’il en dise.

Autres : Des adversaires, des amis, de simples collègues… Tout est possible avec lui.


Bout de moi



Il y a vingt ans de cela, un mineur découvrit dans les profondeurs des mines un filon de Saltz d’une richesse et d’une pureté incroyable. C’était un cadeau du ciel en cette période où la production semblait devoir se raréfier. Il allait offrir un nouveau souffle à l’activité minière, renflouer les caisses des Von Heiligen, alimenter pour un temps les machines de Draümbell. C’était du moins ce que l’on avait cru au début. Car avec la joie de la découverte vint l’imprudence, les risques étaient minimisées. L’on ne prêtait plus aussi attention aux signes annonciateurs d’un coup de grisou. Une poche de gaz, trop de poussières, une étincelle et se fut le chaos, le cataclysme. La mort frappait, prenait. Comme toujours, comme à chaque fois. La joie avait cédé devant la peine et ce merveilleux filon fut perdu sous les gravats. L’on ne pensait plus à l’exploiter. Les risques étaient jugés trop importants pour les gains espérés. Mon père me racontait parfois cette histoire lorsque j’étais enfant. Il y avait alors de la peine dans ses yeux. Il y avait perdu des camarades, des amis, des frères mais aussi sa fierté de mineur. Le filon qu’ils avaient découvert avec son groupe en creusant s’était avéré un cadeau empoisonné. Toutefois cette tragédie, cette histoire fit naître en moi une envie pour le moins singulière : étudier le Saltz, comprendre ses secrets. Je n’étais qu’un fils de mineur mais j’avais l’esprit vif, les sens affutés et je savais faire en sorte que mes résultats soient suffisants pour m’ouvrir les portes voulues. C’est grâce à ce talent que j’échappai à la mine pour étudier dans une bonne école, que je pus intégrer plus tard l’Hörschulle et m’élever lentement mais surement jusqu’au rang de Chercheur.

Il y avait alors bien des candidats désireux d’étudier l’or rouge. La plupart n’était, tant à mes yeux que de façon plus objective, que des imbéciles prétentieux incapables de faire la différence entre un acide et de l’eau. Toutefois ils étaient là et attiraient donc, souvent parce qu’ils étaient bien nés, l’attention des autres érudits qui avaient, il ne fallait pas se mentir, besoin de financement. Moi, je n’avais rien à leur offrir si ce n’est une certaine aisance lorsqu’il était question de se promener dans les faubourgs. Cela ne m’a pas empêché de trouver un maître capable de me guider sur ce chemin envié, respecté, difficile. Son enseignement était une chose précieuse, même si je n’aimais guère sa façon de se comporter vis-à-vis des gens qu’il jugeait inférieur. Il ne semblait avoir de respect que pour son nombril, et encore, il n’aurait sans doute pas fallu que ce dernier ne se mette à le regarder de travers… Je n’avais toutefois d’autre option que de prendre mon mal en patience en attendant d’être nommé et d’avoir la liberté de mener mes recherches selon mon seul gré. C’était devenu bien difficile depuis que je m’étais blessé le bras gauche en entrant en contact avec une solution à base de Saltz qui anesthésia presque intégralement toute sensibilité dans mon bras gauche et me laissa quelques douleurs neuropathiques. Mon maître ne me laissait plus sans surveillance dans son atelier et me confiai surtout des tâches sans intérêt. En attendant, je pouvais toujours m’intéresser à tout ce qui se faisait, comprendre les gens du centre et de la haute société, m’adapter à leur vie qui finirait par devenir la mienne, que je le veuille ou non.  Car oui, j’ai toujours su que j’obtiendrai l’attention de tous, que je ne serais pas qu’un jongleur de fioles colorées comme il y en avait tant. J’aspirai à la grandeur, non sans orgueil.

Récemment, alors que je festoyai d’un lapereau et de champignons, je reçu une lettre de l’Université. L’on m’accordait enfin le laisser-passé qui me permettrait de franchir le mur qui me séparait de mon quartier natal. J’allais enfin pouvoir étudier dans les mines, étudier le Saltz et ses effets sur ses premières victimes : les mineurs. Je savais les mines hors de portée mais j’espérai bien obtenir un passe-droit. Il me faudrait bien un jour le voir dans sa gangue rocheuse, dans son milieu naturel, avant qu’il ne soit extrait pour réellement le comprendre. Je n’allais pas me laisser induire en erreur par quelques observations écrites en pattes de mouches par un vieillard bigleux. C’était hors de question ! Ce n’était toutefois pas si aisé à obtenir et je devrai d’abord étudier les échantillons que je pourrais bien obtenir, pas toujours de la façon la plus légale qui soit mais je n’allais pas me montrer respectueux des règles quand elle m’empêchait de travailler.

Dans le cadre de mes recherches, j’avais mis en œuvre mes connaissances médicales pour tenter d’apaiser les souffrances des victimes du Saltz et si au début ils avaient été mes seuls « patients », d’autres commencèrent à me demander conseils quand ce n’était pas des soins tout simplement. Ce n’était pas vraiment ma spécialité, je le leur disais mais je ne les chassai pas pour autant de ma porte. J’avais de la compassion pour eux. Il n’y a pas si longtemps je vivais dans les mêmes rues ternes, respirai en permanence la même poussière. Et grâce à cette « mission », je pu expérimenter plusieurs onguent et potions, parfois avec succès, parfois sans. J’étais même parvenu à créer une drogue plus douce à partir du Saltz, en reproduisant, diluant et altérant la formule de la Sélidoine. Au début j’avais pensé qu’elle atténuerait les douleurs, simplement, sans effet secondaire grave mais elle avait toujours cette mauvaise façon de rendre dépendant ses consommateurs, moins fortement mais tout de même. Je décidai donc de garder cette formule atténuée pour tenter une désintoxication en douceur des drogués. Cela pourrait mieux marcher que la privation totale et brutale. Ce serait mieux pour l’organisme.

C’est ainsi que l’on en vient à ce jour où j’ai entrepris de retranscrire mes expérimentations et le fruit de mes journées sur le papier afin de pouvoir me rappeler de mes découvertes de la veille. Cela me paraît sain vu que je travaille avec des produits dangereux. Et puis, depuis que je sais que mon père, William Thomas Armitage est atteint d’une maladie débilitante, je me dis que croire en sa mémoire infaillible n’est pas une bonne idée !


Derrière l'écran...

Je, soussigné Klaus A. Grüber déclare avoir pris connaissance du règlement et m'engage à suivre les règles de bonne conduite sur le forum.
Comment avez-vous découvert le forum ? : Ulric/Eris qui revient pour vous jouer un tour !
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MessageSujet: Re: Klaus A. Grüber : du Sel dans les recherches   Klaus A. Grüber : du Sel dans les recherches EmptyMar 29 Jan - 23:02

J'avoue que j'ai la flemme d'aller chercher à nouveau le message !
Tu connais le chemin bogoss !

Te voilà validé (pense à rectifier l'image !)
 
Klaus A. Grüber : du Sel dans les recherches
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